Alors que leur musique gagne en popularité un peu partout à travers le monde, les rappeurs et artistes hip-hop composent de nouveaux codes linguistiques, mélangent les langues les unes aux autres, abattant au passage préjugés et frontières. Cette manière de jouer avec la langue en musique a-t-elle un impact sur le langage de tous les jours ? Constitue-t-elle un vecteur d’innovation ou, au contraire, une pratique linguistique « suicidaire », comme le dénoncent des critiques ? Faut-il abattre les « normes » linguistiques pour être en mesure de faire éclater l’innovation ?
Les rappeurs Aly Ndiaye, Webster de son nom de scène, et Ogden Ridjanovic, alias Robert Nelson, en ont discuté, le samedi 26 octobre, au musée des Beaux-Arts de Montréal.
Une rencontre animée par Manon Dumais, journaliste au Devoir.
Retrouvez le Monde Festival en vidéo
Contribuer
Réutiliser ce contenu